mardi 1 octobre 2013

Contrôlez votre stress avant qu'il ne vous contrôle: méthodes pratiques contre l'anxiété


Parfois, on se lève le matin on regarde par terre en marchant vers la cuisine en se demandant « Où aie-je caché ma bonne humeur ». Certains moments échappent à notre contrôle et un sentiment négatif envahis tout notre être et nous nous cherchons une solution vers l’extérieur. À vrai dire, il existe bel et bien des solutions. Cependant, elles ne se trouvent pas plus loin que cachée dans notre esprit. Il est important de travailler sur son bonheur jour après car il n’est jamais acquis. C’est important car notre état mental a un effet direct sur notre succès. Le sentiment d’être heureux et motivé représente un état optimal à atteindre constamment. Voyez que ce sont des belles paroles d’introduction mais je vois déjà d’ici la question que vous vous posez depuis le début : « Mais comment ?!? »

Avant toute chose, laissez-moi vous expliquer le concept de la psychologie positive, qui est l’élément central permettant de se remettre en selle.  Celle-ci comprend trois sous-catégories qui font partie intégrante d’une vie saine. Premièrement, les émotions positives émergent avec l’acceptation que nous avons avec notre passé, le bonheur à construire dans le présent et l’espoir pour le futur. Ensuite, les traits individuels positifs se puisent dans notre force de caractères, la spiritualité et nos valeurs.  Cela peut être notre capacité à aimer et travailler, le courage, la compassion, la résilience, la créativité, la curiosité, l’intégrité, la modération, le contrôle, notre connaissance de nous-même et notre philosophie. Finalement, les institutions positives, c’est l’arrière-fond ou le soutient, par exemple, les communautés, la justice, l’esprit d’équipe, la famille, la tolérance en société, etc.  Toujours pas convaincu ? Laissez-moi aller plus en profondeur. Quel est l’ennemi numéro un du bonheur ?

Le Stress
Le stress fait toujours plus de dommage que sa source même. Et ce, surtout lorsque le stress est purement psychologique. Nous parlons du stress comme quelque chose qui nous tombe sur la tête échappant à notre contrôle. Mais si l’on ne le contrôle pas, le stress fournit de l’adrénaline et du cortisol dans vos vaisseaux sanguins. Cela met votre corps en alerte et peut compromettre votre santé physique et mentale. Le cortisol limite notre capacité mentale à penser rationnellement. Si l’on arrête de penser rationnellement, le stress se transformera en anxiété.

L’anxiété c’est le fait d’avoir un constant malaise pour des représentations mentales ou des scénarios qui ne sont pas réels ou peu probables. C’est l’aboutissement du stress que nous avons laissé gagner. L’important, c’est de neutraliser le stress à la source dès qu’il survient. Comme un cancer, plus tôt qu’il est décelé, plus tôt nous posons des actions et plus probable sera la guérison. Le stress peut se manifester lors de problèmes d’argent, de relations de couple qui battent de l’aile ou des conditions de vie difficiles. Aucuns de ces problèmes ne met notre vie en danger, mais le cerveau ne distingue pas toujours cette information. Notre détresse face à une situation se répète sans cesse si on ne fait rien pour ne pas qu’elle se reproduise. Nous pouvons créer de nouvelles manières de réagir face à ces problèmes. Simplement le fait d’être conscient de nos mauvaises habitudes de projections mentales stimule automatiquement les neurotransmetteurs qui nous calment. Il faut simplement se dire que la fin du monde n’est pas proche et comprendre le fait que nous dramatisons à tort la réalité. C’est comme une boule de neige que nous poussons d’une falaise. Dès que le mécanisme est enclenché, la boule continue de rouler et de grossir pour finir par prendre des proportions exagérées.

Demandez-vous si la situation et les personnes concernées valent la peine d’extirper votre énergie? C’est rarement le cas, alors, à chaque fois que l’image revient dans votre tête dites-vous : « J’ai déjà réglé ça avec moi-même, alors, à quoi bon y revenir ? »
Personne n’a à être victime de ses problèmes passés ou d’un traitement malveillant de la part des autres. Il faut comprendre que les commentaires d’autrui ne sont qu’une question d’opinion et de perception. La susceptibilité c’est de recevoir les mauvais commentaires des autres comme une preuve du fait que nous ne valons rien au lieu de se dire « ce n’est que l’opinion d’autrui ». Donnez-vous la permission de ne pas être parfait et d’accepter vos défauts. Les choix deviennent plus clairs lorsqu’on écarte l’argument « ce que l’on attend de moi ».
La dépression augmente nos risques de démence. Pour la combattre, il faut avoir un sens de l’humour, ne pas tout prendre au sérieux, être gentil, reconnaissant envers la vie et fier de nos accomplissements aussi petit soient-ils. Nous ne pouvons supprimer les sentiments de colère et de tristesse. Nous en aurons toujours car nous avons plusieurs raisons de l’être au fil de notre vie. Il faut les accepter et se dire que rien n’est permanent.  Écouter des pièces musicales et cinématographiques qui racontent tacitement des histoires optimistes est une trame de fond à adopter pour votre nouvelle vie. Je lis beaucoup de livres sur des histoires de gens qui ont vécus malgré les embûches   Le poste de télévision OWN par Oprah Winfrey raconte beaucoup d’histoires du genre. Soyez inspirés par des modèles intelligents et vaillants.

N’ayez pas peur de faire des efforts  en  pensant que tout  fini par échec.  Les gens croient que ceux qui ont réussis on frappés trois échecs avant de réussir. À vrai dire, les gens qui réussissent vraiment en ont peut-être frappés vingt-trois. Voilà la raison pour laquelle ils ont réussis. Comme Rocky disait : « L’important ce n’est pas le nombre de coups que tu envoies qui importe, mais la capacité de te relever après chaque coup encaissé. L’optimisme peut être appris. Tout est une question de comment nous interprétons les événements. Pensez aux trois P qu’il faut éviter : Personnel (c’est ma faute), Permanent (c’est toujours comme ça) Persuasif (tout est terrible et ce n’est pas qu’une illusion). Mais pour plus détails …



L’optimisme
L’optimisme, c’est comment nous interprétons les événements. Imaginez deux individus qui sont perdus lors d’une randonnée en montagne. L’un ne cesse de se plaindre et d’imaginer le pire. Tandis que le deuxième, prend le temps de regarder tout autour et d’apprécier quand même le périple. Certains verront toujours le verre à moitié plein et l’autre à moitié vide. Pour devenir heureux, il faut apprendre les habitudes des gens heureux. Les optimistes ont de meilleures relations, des carrières plus fructueuses, plus d’énergie, une meilleure santé physique et des interactions sociales plus riches.

Pour accéder au bonheur, il faut s’empêcher d’être aux prix avec la frustration jusqu’au coup. Il faut rester conscient de notre état présent tout en essayant d’être optimiste et de voir le bon côté des choses. Un bon truc c’est d’imaginer des résultats positifs qui émaneraient à la fin au lieu d’imaginer le pire qui pourrait arriver. Notre cerveau construit alors de la persévérance et de l’assurance qui sont des bons outils contre la dépression. C’est ce qu’appel les psychologues; créer de l’intention, de l’attention et de l’attitude. Deux habitudes créent du bonheur. Premièrement, le sentiment d’accomplissement, c’est-à-dire, utiliser nos talents et notre énergie dans ce qui nous semble important. Ensuite, le contentement, ce qui veut dire d’expérimenter le sentiment positif d’être satisfait d’être simplement en vie avec ce que nous avons. Nous sommes plusieurs à avoir le syndrome du « jamais assez ». Comme les gens matérialistes qui achètent sans cesse de nouveaux jouets pour le petit rush de l’acquisition. Ensuite, ils doivent recommencer dès que l’excès de dopamines à évacuer le corps.
Plusieurs outils peuvent nous permettre de pratiquer notre bonheur. Partager ses histoires heureuses nous permet de les revivre en les racontant. Il est de même pour les souvenirs et les photos que nous collectionnons. Mettre des photographies ou des œuvres d’art qui ont une connotation positive sur nos murs est un truc intéressant à utiliser. C’est de créer un environnement positif avec lequel nous commençons la journée. Et ne pas oublier l’absorption des événements lorsqu’ils se produisent. C’est-à-dire, saisir le jour et capter l’instant, et ce, sans penser à comment la situation pourrait être meilleure et sans penser à autre chose.

La reconnaissance
Le simple fait de dire merci démontre que vous pensez à quelqu’un d’autre que vous à cet instant. Imaginez si vous étiez reconnaissant à tous les jours. Comment ce sentiment de gratitude pourrait améliorer votre vie sur une base régulière. Cela se fait en ayant de la gratitude pour tout ce qui est de bien dans notre vie. Même dans les moments de défi, nous pouvons être reconnaissants de ne pas être démuni de moyens pour s’en sortir. Cela nous donne l’énergie nécessaire pour passer au travers. Commencez un journal de reconnaissance. À chaque jour, prenez le même calepin et écrivez trois choses pour lesquelles vous être reconnaissants. À chaque matin recommencez-le du début.

L’empathie
 Voilà la clé de mon bonheur. Il s’agit de penser au-dessus du soi-même. C’est de se mettre complètement à la place de quelqu’un pour ressentir sa douleur. L’empathie est un élément vital pour une société en santé. Malheureusement, nous voyons tellement de malheurs dans les médias que nous devenons immunisés et nous croyons inconsciemment que le téléjournal et CSI Miami sont écrits par la même personne. S’intéresser à des causes c’est de transposer le « j’ai tant de problèmes » à « il y a tant de problèmes dans le monde ». Nous prenons davantage conscience que ce que nous vivons n’est rien à comparer à plusieurs groupes vulnérables (les animaux maltraités, les femmes battues, les parents qui vivent la mort de leur enfant, les gens atteints du sida ou du cancer, etc.) Dans cette optique, nous nous mettons à aider du mieux que nous pouvons, et franchement, rien ne fait plus plaisir. C’est ce qui me sert de spiritualité; La volonté d’aider.

La frustration et la tristesse
Être furieux démontre que nous avons de la difficulté à contrôler nos émotions. Pour ne pas déraper, nous devons contrôler le sentiment à la source. Lorsque quelque chose d’irritant arrive, il faut réfléchir à comment nous allons réagir dans les prochaines secondes. Peser le pour et le contre de ce que nous allons dire ou faire. Être aux pris avec des habitudes négatives comme la frustration démesurée peut nous amener directement en dépression.  Un bon truc à adopter vient directement de Jésus; « Pardonner à ceux qui nous ont offensés.. » Parce que qu’importe la gravité de ce que la personne nous a fait, pardonner à l’autre c’est se faire un cadeau à soi-même. C’est de réussir à passer à autre chose, par exemple, en se disant; « Je te pardonne d’être une personne malade mentalement ».
Les moments de tristesse surviennent aussi plus souvent qu’on ne le voudrait. Nous ne pouvons pas nous attendre d’être toujours heureux. Mais rappelez-vous que la situation n’est jamais permanente et que la tristesse ne peut que laisser place à l’espoir. Les événements qui nous remplissent de tristesse laissent toujours place à un changement bénéfique et à un autre niveau de maturité. Donc, la tristesse est partie intégrante de votre bonheur. Lorsque l’événement se produit nous le vivons et c’est normal de se sentir triste. Ce qui importe, c’est comment nous regardons la chose par la suite. Ayons une perception constructive et ne pas trop y revenir souvent.  Sinon, vous tombez dans la mutilation psychologique.





Le programme Mind-up du livre 10 mindful minutes par Goldie Hawn

Respirer consciemment
Nous sommes le seul animal sur la planète capable  de regarder ses propres actions et pensées dans une auto-analyse qui peut occasionner un changement de direction. Pour se faire, il est important de s’arrêter à quelques étapes de la journée pour faire le point. S’arrêter pour prendre de grandes respirations peut avoir des effets insoupçonnés car notre souffle fait entrer de l’oxygène dans notre cerveau et notre corps libérant un sentiment de calme.  Le simple fait de s’asseoir pour faire le point en fixant quelque chose d’agréable ou en fermant nos yeux a des effets bénéfiques. Un état de conscience c’est simplement de prêter attention à ce qui se pense maintenant. Les muscles de la concentration, l’observation et de relaxation se construisent alors. En absence de conscience, nous nous trouvons à réagir négativement de toutes les manières possibles. C’est pour cela qu’il faut garder à l’esprit de garder un mot en tête tout au long de la journée : la conscience. Plus nous renforçons ce message et plus nous améliorons notre focus optimal. La réponse au stress se calme, l’attention devient plus forte,  le sommeil devient plus facile, les mécanismes du cerveau  et de la conscience s’améliorent. Ce n’est pas le nombre de temps que nous prenons pour respirer mais bien le nombre de fois que nous le faisons qui compte. Choisissez un endroit où vous êtes simplement bien.

Ressentez consciemment
Simplement de prêter attention à la remarquable sensation d’être en vie, moment après moment, dans notre propre corps. C’est d’apprécier ce que nous voyons, entendons, goûtons et sentons.
Lorsque  vous sortez dehors, prenez le temps de regarder ce que vous prenez habituellement pour acquis. Regarder ce qui vous entoure comme si vous le reverriez plus jamais. Regardez les arbres et les édifices comme si vous étiez un extra-terrestre nouvellement arrivé sur la terre.
Prenez le temps d’écouter les autres avec notre corps et notre esprit sans porter des conclusions hâtives et sans interrompre. Écouter c’est non-seulement bon pour améliorer notre manière d’absorber l’information mais aussi pour devenir empathique envers les autres. Ce qui a pour effet d’arrêter de se centrer sur son soi-même.
Les odeurs peuvent venir aider notre subconscient à se porter mieux. Certaines fragrances nous rappellent des évènements heureux, notre jeunesse, etc.  Les odeurs recréent des émotions.  L’encens et les parfums sont des éléments important à intégrer dans une maison. L’hygiène de notre milieu de vie joue pour beaucoup sur notre propre bonheur.
Prendre le temps de bien manger, lentement, joue sur notre métabolisme qui va mieux s’en porter et physiquement nous aider à bien nous sentir.
Les mouvements font augmenter  notre énergie, la  joie et la relaxation. Le fait de bouger ou de lancer un défi à notre corps change complètement  notre état d’esprit sur le moment en plus de libérer les hormones du bonheur. Les hormones qui sont libérées ont beaucoup d’effets bénéfiques sur notre cerveau. Nous sommes davantage prêts à combattre le stress et la dépression. Le matin pratiquez le power-pose qui consiste à faire de grands gestes en s’étirant de toutes les extrémités. Sur cela, je vous laisse donc avec Youtube…

Bon Bonheur xxx


Olivier Damato

mercredi 24 avril 2013

êtes-vous réellement conscient de la vraie importance de la beauté corporelle ?



Génération impatiente
Je qualifie notre génération de très impatiente car ce défaut se reflète dans toutes les sphères de notre vie. Que ce soit avec l'éducation, le poids, mise en forme ou l'amour, les gens veulent tous arriver à destination le plus vite possible sans savoir que cette destination n'aurait aucun sens sans la route qui la précède. Comment apprécier des hommes ou des femmes merveilleux sans avoir fréquenté les pire crapules? Pourquoi vouloir être mince à tout prix lorsque la mise en forme est une meilleure solution ? Pourquoi vouloir doubler le volume de certaines parties du corps le plus vite possible même lorsque votre silhouette est proportionnelle ? Et pourquoi autant de chirurgies esthétiques chez les moins de 25 ans ?

Poids
Vous connaissez peut-être des gens qui jouent avec leur poids autant qu'on peut changer chansons préférés. Cela se produit lorsque les personnes veulent être séduisante tout en détestant l'entraînement.  Durant trois semaines elles vont se priver de nourriture, maigrir à vue d’œil et avec l'apparition de joues creuses et de cernes. Cela ne fait toujours qu'un temps car on ne peut vivre de cette manière.  Par la suite, c'est le retour du balancier et la personne se met à manger n'importe comment en retournant dans les fast-foods ou les dépanneurs. Ces personnes vont toujours être malheureuses car leur mode de vie n'est pas bien balancé. Cela a pour conséquence de ne jamais voir d'amélioration à long terme. 

Entraînement
D'autres personnes seront des passionnés du Fitness et ils vont aller s’entraîner à presque tous les jours. Souvent, lorsque tu va toujours à la salle de sport c'est parce que tu veux voir des résultats rapidement. Elles seront portées à se regarder les bras, les abdominaux et le torse assez souvent. Le problème c'est que cela peut-être très long avant d'avoir des résultats minimes. Surtout les hommes vont se tourner vers les stéroïdes anabolisants ou d'autres drogues vétérinaires. C'est bien si vous voulez en prendre jusqu'à la mort. Car le problème avec ces substances, c'est qu'il faut continuer à en prendre et débourser de l'argent pour garder les résultats. Si vous arrêtez d'en prendre, vos poids descendront par la suite. J'ai déjà vu un garçon de mon âge devenir costaud très vite et se voir régresser par la suite. Si vous voulez être mannequin fitness c'est presque indispensable d'en consommer (désolé mais c'est vrai). Mais si le but n'est que d'être plus séduisant sans faire de culturisme, désolé mais vous êtes un peu loser (désolé mais c'est vrai). Avec l'entrainement, il ne faut pas oublier que le plus l'important c'est la santé. C'est possible d'avoir un beau corps et d'être en santé. Il faut seulement être patient et discipliné dans la fréquence des séances et la nourriture consommée.

Chirurgie
La pire épidémie dans mon cercle social ce n'est pas la grippe mais bien les chirurgies esthétiques. Demandez-vous toujours avant de subir une chirurgie si c'est un défaut qui vous empêche d'avancer dans la vie. Demandez-vous aussi si vous ne pourriez faire quelque chose de plus constructif avec votre argent, comme par exemple, aller décrocher un diplôme, moins travailler durant vos études ou faire fructifier cet argent pour une future maison. Les chirurgies pour garder une apparence jeune ont leur raison d'être mais les opérations dans la vingtaine en descendant c'est un peu tiré par les cheveux.

Hyper-sexualisation
Pourquoi tout cela ? Les personnes croient en général que leur apparence physique est un vecteur décisif sur la vitesse ou la possibilité de voir l'amour cogner à la porte. On croit à tord que notre apparence physique va nous aider à décrocher les demandes en mariage ou des amis branchés. Ce qui vous empêche de décrocher tout ça, c'est le manque de confiance en soi qui ne permet pas d'affirmer notre personnalité à son meilleur. Les gens aiment s'entourer de personnes qui dégagent une certaine confiance et surtout de la loyauté et du soutient. L'idéologie que tout passe par la beauté est due à l’hyper-sexualisation véhiculé par les médias, les réseaux sociaux et la publicité. On a fait le tour des femmes et maintenant il y a une tendance très accrue chez les hommes. Achète mon produit et tu seras comme mes mannequins, revêt mes fringues et tu seras comme mes mannequins ou porte des caleçons Diesel et tu seras plus séduisant. Sur les réseaux sociaux on peut voir des milliers de photos de personnes qui ont été capable se se former un beau corps au fil des années. Cela attire l'admiration et malheureusement autant de jalousie. Beaucoup de compagnies indépendantes suivent les traces des plus grosses en amassant quelques jeunes et en les déshabillant sur les réseaux sociaux dans le but de faire un peu d'argent avec l'attention que cela va occasionner. On exploite la jeunesse et la naïveté pour vendre. Les conséquences en sont graves pour les jeunes qui pensent que la belle vie, que le meilleur style de vie, c'est de ressembler a tout ces nudistes qui nous sont exposés. Les personnes n'aiment pas se voir rappeler qu'elles ont des petits seins, des petits bras ou un tour de taille plus large. Les publicités créent des complexes, des insécurités et des problèmes de santé par la suite. Heureusement, les gens sont de plus en plus conscientisés sur ces pratiques malhonnêtes. Dans son dernier passage à l'émission "dans l’œil du dragon", la boutique "un style de vie" s'est vue dire:
- Si vous emploieriez des femmes, on vous lapiderait
- Vous avez aucune innovation de concept
- Vous n'avez inventé aucun produit
- Je passe (4 fois)

Comme je l'avais mentionné auparavant, c'est toujours le même concept Victoria Secret ou abercrombie& fitch qui est copié de plus en plus en versions bas de gamme. Le succès de ces deux magnifiques entreprises ont fait pousser des $$ dans les yeux de nos entrepreneurs contemporains. Je me fais un devoir de militer contre l’hyper-sexualisation pour un avenir meilleur et plus sain.

mercredi 10 avril 2013

La prévention du suicide: pourquoi, comment, qui, où, quand ?


Un tour d'horizon sur la prévention du suicide au Québec, le pourquoi ?
Nous n'avons qu'à jeter un coup d’œil aux statistiques faites au Québec pour comprendre qu'il y a un véritable problème. Le suicide se manifeste dans toutes les régions, couches sociales et tranches d'âge. Notre système de santé comprend des centres de préventions du suicide un peu partout. Certains sont plus apparents que d'autres, par exemple le centre de prévention du suicide de Québec. Ce que les gens ignorent peut-être c'est qu'il y a un centre dans la plupart des clsc. Ayant moi-même suivit une formation rapide à propos du suicide, je peux vous dire que ces intervenants savent de quoi ils parlent. Il n'y a pas à dire que ces centres sont nécessaires dans la province. La prévention du suicide chez une personne propice à l'acte ne se fait pas en un éclair. C'est un long processus qui s'échelonne sur quelques séances. Il ne s'agit pas d'un cours et d'une réprimande ou même se débarrasser des gens en leur lançant quelques astuces. La relation d'aide dans ce milieu me semble très efficace si elle est mise en application.

Puis-je m'impliquer, le comment ?
Malheureusement, les intervenants ne peuvent pas être partout. Les gens peuvent passer à l'acte avant même de demander de l'aide et les centres ne peuvent avoir des yeux dans l'intimité de chaque foyer. C'est pour cette raison qu'ils ont développés des formations. Chaque personne peut se porter volontaire pour être les yeux de l'organisation et mettre en contact une personne souffrante avec un intervenant. C'est de cette manière que chaque personne peut contribuer à la prévention du suicide. Vous pouvez lire cet article en guise de ligne directrice.

Comment la personne se sent, le qui ?
Dégageons les stéréotypes à propos des personnes à aider. Une personne qui envisage le suicide ne souffre pas nécessairement d'un trouble mental. Nous sommes tous l'aboutissement de notre passé, la matérialisation de notre présent et la projection de notre futur. Pour faire une métaphore, une personne qui envisage le suicide vit dans le présent mais elle est enfermée dans une boîte. Cette boîte qui comporte des murs fait qu'elle ne peut voir son avenir . La personne croit que sa situation est permanente et ne peut se projeter un avenir qui en vaut la peine. Si c'est comme ça depuis des années pourquoi ma situation changerait du jour au lendemain? À l'intérieur de cette boîte, la personne vit une ambivalence entre la vie et la mort. Elle ne veut pas nécessairement mourir, car le but est simplement de ne plus souffrir. C'est à ce moment que le suicide se manifeste comme une solution. On veut trouver une autre solution mais lorsqu'à un certain moment la personne n'en peut plus, elle n'en peut plus du tout.

L'environnement versus la personne, le où ?
On cherche à pointer du doigt les facteur environnants de la personnes (mauvaises influences, intimidation, ruptures, échecs, stress, décès) mais la blessure est plus profonde. Les facteurs environnants ne sont que la pointe de l'iceberg. Rappelons nous qu'un iceberg est exponentiellement plus grand, même gigantesque, en dessous de l'eau, et c'est pareil pour l'intérieur d'une personne (que nous ne pouvons voir, donc ne pas être en mesure de juger). Par exemple, cela pourrait être des antécédents suicidaires dans la famille, des problèmes de santé chez un proche, une consommation régulière d'alcool ou de drogues, une certaine pression que la personne s'afflige, le pessimisme par rapport au futur ou un certain manque. Le passé peut jouer un rôle déterminant si on pense aux gens pauvres, familles moins éduquées, au manque d'opportunités pour concrétiser l'avenir ou même parfois la santé mentale. L'acte peut survenir à tout moment qu'il soit avec préméditation ou non. Par exemple, une personne plus impulsive pourrait en effet tenter de passer à l'acte plus rapidement à tout moment. Une certaine situation peut-être le déclencheur (exemple; une consommation de narcotiques). Pour prévenir cela, nous devons être attentifs car ces amis ne vont pas crier leur situation sur tous les toits. Ils vont peut-être vous lancer un message subtils, mais rarement un message explicite, comme pour dire; j'ai besoin qu'on m'aide mais je ne veux pas trop en parler. Si vous devenez un confident, dites-vous qu'il y a une opportunité en or d'aider votre ami. Cependant, vous n'y arriverez pas tout seul.  Sans pour autant trop essayer d'en faire car nous sommes pas assez objectifs en étant un proche et ne sommes pas non plus assez outillé pour aider une personne dans un cheminement complet.

Briser une tentative de suicide, le quand ?
On parle ici d'une autre manière d'imager la manière dont une personne peut se sentir et comment il peut y avoir un changement dans une envie suicidaire. Imaginons un triangle, un des sommets du triangle représente le moi (moi je ne vaut pas la peine), un autre illustre les autres (qui est-ce qui peut m'aider, personne ne peut comprendre) et le dernier se manifeste sous la forme de l'avenir (ne voit rien de motivant), bon, c'était tout pour la géométrie. Maintenant, disons-nous que lorsqu'un coin du triangle est brisé, le processus d'aide est commencé. La personne peut soit reprendre confiance en elle-même ou peut se faire aider par "les autres". Il ne s'agit pas d'une tape sur l'épaule, un sourire compatissant ou des encouragements. En tant que proche nous somme portés à lancer des "Ben voyons dont t'es plus forte que ça" "Ah t'es capable arrête moi ça" "Ah oui ? mais pourtant.. ". Lorsqu'une personne subit une détresse intérieur, ce n'est pas depuis le matin même, c'est souvent depuis des années. Il faut du temps pour la développer et un peu de temps pour guérir aussi. Le meilleur serait que nous puissions aider la personne avant qu'elle ne mette fin à ses jours. Pour cela, nous devons nous en rendre compte, et la personne doit être ouverte à avoir de l'aide. En tant qu'amis, on peut connaître la personne et apporter notre soutient, mais il y a aussi les limites de ce que l'ami peut faire. Les interventions en relations d'aide sont des connaisseurs en la matière pour aider la personne à développer des outils et enfin se libérer de son problème. Soyez les yeux ou le pont entre les organismes et les personnes souffrantes. C'est ensemble, en tant que partenaires, que nous allons prévenir de plus en plus de suicides.

J'aimerais dédier cet article à Audrey Fecteau. Tu es partie trop tôt mais jamais je vais oublier ton rire extravagant, ta personnalité tellement forte et ton sourire. xxx
Liens utiles, références
Québec
Montréal
Trouver un centre dans votre ville 
1-866-APPELLE
Moi : olivierdamato@live.ca


samedi 5 janvier 2013

Ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire


Le caractère d'un homme peut se voir à l'intensité qu'il met pour défendre ce qui lui semble important. Nos convictions ne peuvent être foncièrement mauvaises, tout dépend de notre argumentation. Les gens peuvent mal me comprendre en voyant toutes les publications qui peuvent émaner de mon espace virtuel. Je sais que je n'ai pas toujours la manière douce de dire les choses et jamais je ne prétendrais le contraire. Cela à toujours été une difficulté de broder de la dentelle et des fleurs autour de mes mots. J'essaie d’informer les gens à propos des causes qui me tiennent à coeur de la meilleure manière possible.

À mon âge, je ne rejoins pas autant de gens que je l'aurai espéré. J'ai beaucoup de visites, un large cercle social qui m'apprécie j'en ai aucuns doutes, mais qui fantasme surement quelque fois de me mettre une muselière pour arrêter d'entendre parler de choses lourdes. La plupart des gens ne veulent pas voir ni entendre les atrocités qui apportent la noirceur à la société. Cela me désole car c'est de cette manière que la noirceur va tellement grandir qu'il va être difficile de voir le soleil d'ici peu de temps.

Localement, les québécois font face à beaucoup de corruption politique, des sans-abris qui habitent nos milieux urbains, des jeunes (12- 20 ans) qui se suicident l'un après l'autre, des enlèvements, des prédateurs sexuels et j'en passe. Il y a des tueries comme nous l'avons vécu avec l'histoire de la polytechnique et comme nous l'avons tous appris récemment, le drame à l'école primaire américaine. Mondialement, il y a le tiers-monde, tous les types de cancers, le sida, les guerres, les attentats, les catastrophes naturelles. En tant que société, en tant que groupes démographiques et en tant qu'individus nous pouvons être proche d'un de ces éléments et très loin d'un autre. Peut-être que le coeur vous serre lorsque vous croisez un sans-abri sur la rue sainte-Catherine en allant au travail. Mon bras s'est engourdis lorsque j'ai vu une héroïnomane au meilleur de son oeuvre sur cette rue. Connaissez-vous peut-être quelqu'un qui souffre d'une maladie grave ou pleurez le deuil d'un(e) ami(e) qui s'est enlevé la vie. Ce sont tous des problèmes qui ne peuvent peut-être pas avoir de solutions dans l'immédiat, je vous l'accorde. Mais ce sont tous des individus qui peuvent être aidés. On peut donner pour la recherche contre les maladies, des rescapés qui ont tout perdus lors d'un désastre naturel ou qui peuvent financer l'aide nécessaire pour sortir les jeunes de la rue. Certaines solutions peuvent se présenter sous forme de prévention. Je parle bien sur du suicide. C'est en fait un bel exemple, car les évènements de cette année ont été très médiatisés mais sont en train de s'oublier dans la mémoire collective.

Le suicide
Souvent perçus comme un acte de lâcheté  le suicide demeure très présent au Québec. On compte trois suicides par jour au Québec. Cela fait beaucoup de lâches vous ne trouvez pas? C'est lorsque tout va mal sur le plan personnel, professionnel, social, académique ou physique qu'un individu atteint le fond. La personne développe des idées noires, plus rien ne la motive. Elle se lève le jour pour faire une vie qu'elle n'aime pas. Tout semble morose et rien n'est motivant. Même si tu as des gens qui t'aiment qui veulent t'écouter, elles sont souvent impuissantes à ton état. T'enlever la vie semble la meilleure solution car tu ne veux plus faire endurer ton existence aux autres. C'est lorsqu'une personne se suicide qu'on se dit: si j'avais été au courant... Le père d'une de mes amies s'était suicidé et de voir une famille pleurer leur chef c'est très difficile. Puis cette année, une amie d'il y a quelques années s'est suicidée. À 20 ans sa vie terminée, ne jamais connaitre la vieillesse, jamais la joie de fonder une famille ou de devenir une femme. Nous qui l'avons connu au secondaire allons grandir, vieillir et changer. C'est extrêmement dommage que nous ne verrons pas cette superbe fille atteindre maturité car elle a éprouvé un début de vie trop difficile. C'est très dommage, et ce qui est encore plus dommage c'est que cette année cinq autres filles du coin et quelques garçons dans la même tranche d'âge se sont suicidés cette année. Vous ne trouvez pas que nous sommes en présence d'un problème et qu'il est temps d'y remédier? (causes reliées: intimidation en milieu scolaire, violence domestique)

Le décrochage scolaire
Au Québec, le taux de décrochage scolaire est de 22,5 %, soit l’un des plus élevés au Canada. Plusieurs facteurs peuvent entrer en ligne de compte. Il y a le revenu familial car un jeune peut avoir en tête que c'est inutile de rester sur les bancs d'école à regarder des vieilles vidéocassettes sur l'histoire du Québec au lieu d'aller travailler pour aider sa famille. Dans les classes sociales plus basses, croyez moi, les parents dénigrent souvent la scolarité. Des parents indignes peuvent enseigner à leur jeune que l'université est un luxe de "péteux de brou . Le comportement en milieu scolaire est aussi très marquant dans l'avenir d'un jeune. Laissez-moi en témoigner, car étant adolescent, j'étais excessivement turbulent Je consommais de la drogue et tout le corps enseignant le savait. Les sorties des classes étaient nombreuses et les suspensions aussi. Je fréquentais beaucoup ceux qui n'ont pas obtenus leur diplôme. Beaucoup d'enseignants te découragent, ils essaient de te coincer avec des méchancetés, l'aide interne à l'école est ridicule, les mesures utilisés sont à revoir car elles n'ont rien de convaincantes. J'ai eu de prises de conscience en vieillissant mais ce n'est pas tout le monde qui a eu ce luxe et je le remarque en regardant certains camarades de classe qui ont touchés le fond à l'âge adulte. Les enseignantes de cette époque me font des yeux ronds lorsque je leur apprend où je suis maintenant. Je me considère comme chanceux, mais je trouve aussi que cette chance peut-être matérialisée et appliquée en milieu scolaire. Un adolescent n'a pas le pouvoir rationnel de s'autoguider lorsqu'il vit des moments difficiles. Aidons nos jeunes, je vous en conjure. (Causes reliées: intimidation et taxage, problèmes familiaux, toxicomanie)

Les maladies mortelles
Il y a un dégoût collectif pour le sida. Je connais quelqu'un qui est atteint du sida et lorsqu'il en a informé son entourage, son univers a commencé à se vider. Les gens s'en ont éloignés. C'est vrai que les sida-tiques n'ont pas contracté la maladie sur une poignée de porte, mais cela ne fait pas d'eux des gens qu'il faut marginaliser. Il y a beaucoup de recherches qui ont fait qu'aujourd'hui on peut faire vivre un malade plus longtemps. C'est grâce à la recherche et aux fondations. Ne voulez-vous pas qu'on pousse plus loin pour trouver un remède définitif ou du moins essayer, d'après moi cela en vaut la peine. C'est la même chose pour le cancer et tout ses dérivés. Beaucoup de gens en meurent et c'est une maladie qui leur tombe sur la tête comme un jour de pluie. Faites un effort et donnez généreusement pour aider la recherche.

En rafale:
La santé, la condition physique et la nutrition sont des mesures préventives contre les maladies et les problèmes qui peuvent entraver vos activités quotidiennes.
Les personnes âges ne doivent pas être placé dans l'oubli comme les objets qui parsèmes leur grenier. Si vous les placez, aller souvent faire une visite et faites attention à l'endroit surtout.
La violence faite aux femmes est surement plus courante qu'on le pense mais statistiquement difficile à percevoir. Gardez l'oeil ouvert.
C'est d'autant plus vrai pour la violence faite aux enfants. Les foyers advoisinnants peuvent être lieu des scènes abominables.
La cruauté envers les animaux ;p 

Ce n'est pas en se fermant les yeux que les choses vont s'améliorer. Il faut embrasser une cause et en faire la sienne. Vous devez être prudents, car dans les fondations il y a beaucoup de tromperies, blanchiment d'argent et d'arguments de ventes (de faibles sommes sont vraiment versées ou pas du tout). Étudiez attentivement ce que font concrètement les fondations, leur historique, leurs actions quotidiennes et ce qui les motive réellement. Les gens ont tendance à faire dos aux choses qu'ils trouvent trop triste à faire face. Le citoyen moyen est souvent omnibulé par ses sorties dans les bars au quotidien, les achats de luxe pour montrer à quel point ils sont riches de matériel ou leur histoires de coeur digne d'un épisode de Degrassi. Québec réveille-toi.

jeudi 3 janvier 2013

Men Grooming - Traiter sa peau dans la vingtaine


Il n'y a pas beaucoup d'hommes qui s'y connaissent dans le domaine, et les comptoirs cosmétiques ne sont pas très attirants pour la clientèle. Vous vous dirigez plus vers les produits en vrac de faible qualité. Il est essentiel de bien comprendre certaines notions pour bien traiter votre visage.

Des soins qui durent une minute par jour

Lorsque votre peau est à tendance acnéique  n'abusez pas des produits anti-acné qui vont assécher votre peau très rapidement.Vous devez utiliser certains types de produits.  Premièrement, tout doit être sans huile (oil-free). Sinon, vous pourriez empirer votre cas. Vos outils seront :
Un exfoliant (s'occupe de faire disparaitre la peau morte et les impuretés, il nettoie en profondeur) : faites attention à la grosseur des substances solides du produit (les billes ne doivent pas irriter votre peau) et ne pas utiliser chaque jour. La marque Anthony Logistics en offre un bon.
Un liquide qui combat l'acné (un peu comme un tonifiant) à utiliser après vous avoir nettoyé le visage. Le mien est distribué dans les pharmacies Jean Coutu sous la marque Vichy et il fonctionne très bien. Vous l'appliquez avec un coton et les résultats se remarque assez rapidement et il n'assèche pas la peau.
Un hydratant sans huile que vous pouvez trouver chez plusieurs marques (Anthony Logistics, Vichy). J'utilise celui de Lab Series qui est une excellente marque de produits pour hommes.

Si vous avez une peau sèche sans jamais d'acné, vous utilisez un nettoyant normal. Ne veuillez pas vous laver le visage avec une barre de savon, car cela va rendre votre peau encore plus sèche. Il est nécessaire d'utiliser l'exfoliant plus rarement (une fois par semaine). Dans le cas où vous auriez une peau grasse, le mieux serait de s'exfolier la peau plus souvent (une fois par deux jours). Il n'est pas nécessaire d'utiliser d'hydratant.

Le rasage

Il est facile de s'irriter, se couper ou endommager sa peau lors du rasage. Je n'utilise pas la mousse à raser courante. Trois produits peuvent s'avérer très utiles:
Une huile pré-rasage (pre-shave oil) sert à préparer le poil et à l'adoucir avant de raser.
La mousse à raser permet au rasoir de mieux glisser sans se heurter à votre peau.
L'après-rasage adoucit la peau et ralentit la repousse.
Il y a de très bons produits distribués sous le nom de The Art of Shaving.

Le contour des yeux

Si vous êtes la vingtaine, il faut faire attention à ces produits. La majorité de ce qui se vend pour cette zone comporte des anti-rides. En appliquant un anti-ride avant trente ans vous empirez votre cas. Utiliser un baume, un crayon bille ou une crème expressément pour la noirceur causé par les cernes. J'utilise le baume Vichy mais vous pouvez tout autant utiliser le crayon bille Clinique ou la crème de Anthony Logistics.

Où vous pouvez trouver les produits

Sephora: Murad, Clinique, Origins Men, Anthony Logistics, Lab Series, The Art of Shaving
Jean Coutu: Vichy, Laroche-posay
Veuillez éviter les produits l'Oréal, Oxy, Clean&clear, etc. Ils sont bourrés d'alcool à friction, peroxydes et d'autres éléments qui peuvent assécher la peau rapidement et conduire à un inconfort total.